Comment RÉFÉRENCER et OPTIMISER vos VIDÉOS sur YOUTUBE ?

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#1
Comment RÉFÉRENCER et OPTIMISER vos VIDÉOS sur YOUTUBE ? - Alexandre CORMONT



Citation :Je vous invite à faire un tonnerre d’applaudissements pour Alex Cormont ! Yeah!
Merci Max.
YouTube, c’est de la bombe, il va nous expliquer tout ça.
C’est ma source numéro un de mon chiffre d’affaires de plus de 80 %. Toi, c’est
une somme très conséquente, je te laisse nous donner les secrets de YouTube.
Avec plaisir.
Est-ce que ça va ? Ouais !
J’adore cette énergie.
Alors, vous allez voir, tout le weekend, il y a vraiment mille et une façons de développer
son entreprise, de faire du business, d’accroître son chiffre d’affaires.
L’important c’est de trouver la vôtre.
Personnellement, j’avais envie de vous parler aujourd’hui d’un outil qui a aidé des
milliers de personnes à vivre de leur passion, à vivre de leur art et à être indépendants.
En tout cas, c’est mon cas et c’est forcément YouTube.
En général, je fais des conférences un peu plus sur le « mindset », l’inspiration.
Mais là, Max m’a dit : « Alex, il faut que tu sois pratique ». Donc j’essaye
d’adapter ma conférence pour les débutants, pour les confirmés et même pour les experts.
Je vais vraiment vous ouvrir pour la première fois les coulisses de mon business.
Je vais essayer vraiment de vous transmettre des choses puissantes pour vous aider justement
à développer votre projet.
Ce que je vous invite vraiment à faire c’est prendre des notes parce qu’il y aura une
petite partie technique.
Si vous avez la moindre question, on la verra à la fin de cette conférence, mais aussi
pendant tout le weekend.
Je vais vraiment être là avec vous.
Mon objectif, c’est que vous passiez à l’action et que vous puissiez développer
votre business.
Vous allez le voir, je ne suis pas un marketeur, je ne suis pas un publiciste, je ne suis pas
actionnaire de YouTube.
Simplement, je trouve que c’est quelque chose qui m’a vraiment aidé.
La première chose que vous devez noter c’est que YouTube c’est l’avenir.
Contrairement à ce que Max vous disait ce matin, moi je me forme beaucoup aux États-Unis,
j’ai la chance de vivre à Miami.
Et je fais partie d’un mastermind s’intitule la War Room, dirigé par Ryan Deiss de DigitalMarketer.
Est-ce qu’il y en a qui connaissent ici ou pas ? Ah quand même.
OK, très bien.
Et en fait, le principe du mastermind c’est d’avoir accès à des personnes qu’on
ne pourrait pas rencontrer dans la vie de tous les jours Il y a deux personnes qui m’ont
énormément touché, que ce soit dans mon développement commercial, dans mon développement
personnel, dans ma vision d’entrepreneur.
La première personne c’est Neil Patel.
C’est quelqu’un qui a une connaissance extraordinaire de l’analytique, donc du
business avec les chiffres et qui aujourd’hui s’est mis à YouTube pour faire des vidéos.
Je ne suis pas sûr qu’il en avait besoin.
Il a vendu ses boites des dizaines de millions de dollars.
Mais je pense que lui il a vu quelque chose que peut-être nous on n’avait pas encore
vu, ou peut-être que vous allez voir aujourd’hui, je l’espère, avec ma présentation.
La deuxième personne, je vous invite vraiment à la noter aussi parce qu’il est peu connu
en France, mais très connu aux USA, il s’appelle Billy Gene – ce n’est pas la chanson – B-I-L-L-Y,
Gene, G-E-N-E.
Et en fait, c’est une personne qui était toujours sur mon fil d’actualités sur Facebook.
À chaque fois que je me connectais, j’avais sa pub, j’avais sa tête, j’avais sa tête,
j’avais sa tête.
Je me disais « mais comment il fait, il doit dépenser des millions et des millions ».
Et je l’ai rencontré et à la War Room, il est venu faire une présentation exactement
comme celle que je suis en train de vous faire, c’est-à-dire sur scène.
Et il explique qu’il a pris son tunnel de vente de Facebook, qu’il l’a mis sur YouTube
et qu’aujourd’hui c’était une extraordinaire opportunité.
Je le vois parce que je vis aux États-Unis, il y a vraiment quelque chose qui se met en
place avec la publicité et YouTube sur l’organique, donc c’est l’avenir, première raison.
Deuxième raison, j’entends souvent dire que la vidéo c’est un peu mort, que le
podcast a pris le relais, et pourtant le marché sur YouTube il est hyper mature, vraiment.
Et ça, je vais vous le démontrer, donc vous n’avez pas besoin de me croire, vous avez
juste besoin de m’écouter, de regarder les slides également.
Est-ce qu’il y a des personnes qui connaissent mes vidéos ici ? Il y en a quand même
pas mal, OK, nickel.
Alors, pour les personnes qui me rencontrent pour la première fois, je dirige deux cabinets
de coaching, j’en ai un à Paris et un à Miami.
Et j’ai une double casquette : je suis à la fois coach en amour, ça c’est vraiment
mon premier bébé.
Et en même temps, je suis mentor business puisque j’accompagne des entrepreneurs à
développer leur chiffre d’affaires, à développer leur présence en ligne, avec
ce que moi j’appelle la création d’une marque forte, quelque chose qui va impacter
le monde, quelque chose qui va permettre de transmettre des valeurs, et quelque chose
qui va nous permettre d’être durable.
Donc j’ai la chance entre guillemets d’avoir une chaîne YouTube avec plus de 365 000
abonnés, c’est la chaîne numéro une en amour dans dev perso.
J’ai également plus de 60 millions de vues.
Et le chiffre qui va vous intéresser aujourd’hui, 45 % de mon chiffre d’affaires en France,
aux USA est généré par YouTube.
Et quand je dis YouTube, nous, mon équipe et moi-même on est des spécialistes de l’organique,
donc on dépense très très très très très très peu d’argent.
Et c’est un tort en fait.
Encore une fois, il y a mille et une façons de faire du business.
Pour la petite histoire, tout a commencé en 2007.
Je dis « mon bureau » en général, mais en fait c’est la vue de ma chambre
à Viry-Châtillon dans le 91.
Tout a commencé, j’étais avec deux potes qui sont dans la salle, des amis d’enfance.
Et j’en aidais un autre à être plus heureux dans son couple.
Et je me suis dit « mais je suis trop fort, il faut que je devienne coach en amour ».
Et je me suis lancé comme ça, un peu de manière insouciante.
J’ai écrit un premier blog, j’ai écrit des articles.
Et jusqu’à 2011, je n’étais pas vraiment visible, je n’avais pas vraiment de clients
entre guillemets.
Donc on peut dire de 2007 à 2011, j’ai dû générer en tout 10 000 € sur quatre
ans.
C’était la catastrophe.
En 2011, j’ai compris un élément qui est puissant, et que vous avez compris si vous
êtes là.
Ce n’est pas les meilleurs qui sont vus, ce n’est pas les meilleurs qui sont lus,
c’est ceux qu’ils ont compris le web marketing.
Et pour moi en tant que coach, ça a été très difficile d’accepter cette casquette.
Je vais vous présenter des exemples, mais notez bien que ceux qui réussissent entre
guillemets c’est ceux qui ont compris les enjeux du web.
Et on va le faire ensemble aujourd’hui. 2015, j’étais leader de mon marché, coup
de folie, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai dit OK, c’est bon, je vais attaquer
le marché américain.
C’est difficile, mais c’est possible.
Aujourd’hui, j’ai la chance de vivre à Miami, d’avoir un coucher de soleil qui
assez somptueux.
Et en même temps, de voyager, de kiffer, de profiter, tout… et c’est une des particularités
je travaille quand même très très dur.
Je suis encore, au quotidien, un vrai entrepreneur avec mes équipes, et c’est ce que j’aime,
et c’est OK.
Donc là, vous pouvez choisir vos valeurs.
Je vous dis ça parce que rien ne me prédestinait à passer de Viry-Châtillon à Miami, sauf
grâce à internet. 2011, ça a été la plus belle année de
ma vie parce que j’ai compris webmarketing, mais ça a été également la plus douloureuse
parce que j’ai perdu mon père.
Un entrepreneur qui avait tout construit, qui s’était dévoué pour sa famille, il
avait construit un garage automobile de ses propres mains, parpaing par parpaing avec
ses potes.
Il est arrivé à la retraite, il s’est dit, c’est bon, je vais qui kifer, boum,
cancer foudroyant.
Internet, que vous alliez sur YouTube, que vous fassiez des Lives, que demain il y aura
Facebook, etc., choisissez ce que vous voulez, mais vous avez un devoir, c’est celui de
réussir.
Parce que vraiment, c’est bon et ça marche.
Il y a trois raisons pour lesquelles YouTube est imbattable, et on pourra en discuter avec
tous les experts, vraiment.
Premièrement, il y a une grosse différence entre YouTube et les réseaux sociaux, OK.
Le premier point, c’est que quand on est sur YouTube on crée un actif.
Est-ce qu’il y a des personnes qui ont investi dans l’immobilier ici ? OK, donc ça,
ça va vous parler cette notion d’actifs.
Quand je mets une vidéo en ligne sur YouTube aujourd’hui, demain, après-demain, dans
dix ans, la vidéo elle est là, elle ne bouge pas.
Quand je mets une vidéo sur Facebook, sur Insta, combien de temps ça dure ? 24 heures,
48 heures si vraiment j’ai fait un post qui cartonne.
Donc quand on met une vidéo en ligne, c’est un actif que vous créez, premièrement.
Deuxièmement, on va se retrouver dans la notion de « search », de recherche.
Quand je publie une vidéo sur YouTube, je la distribue à un prospect qui est tiède.
Il n’est pas chaud, mais il est tiède.
Par exemple, si je veux aider les personnes à gérer leur stress, je fais une vidéo
sur gérer son stress, la personne qui tape « gérer son stress » dans YouTube elle
a envie d’en savoir plus.
Elle a envie de s’en sortir, elle a un problème.
Vous êtes d’accord avec moi ou pas ? OK.
Par contre, sur Facebook, je vais voir une photo de chat, une photo de fitness et entre
les deux une publication sur la gestion du stress.
Je ne suis pas alerte comme un client entre guillemets qui est sur YouTube.
Ça fait sens ? OK, super.
Troisième point important à noter, YouTube permet plus facilement d’amener la vente
parce qu’il y a la création d’une connexion émotionnelle qui se met en place.
Il y a cette fameuse phrase qui dit, je crois que c’est « une image vaut mille mots »,
c’est ça ? OK.
Imaginez ce que c’est qu’une vidéo.
Quand je me suis lancé… il y en a qui ont démarré sur internet avant 2010 ici ou pas ?
Ouais, il y en a quand même quelques-uns, OK.
À l’époque, on avait des lettres de vente, les longues pages de vente.
Aujourd’hui c’est passé à la poubelle, vidéo.
Parce que la connexion elle est puissante.
Sur mes sites internet, j’ai plus de 20 millions de visiteurs chaque année, 20 millions
de personnes me suivent chaque année.
Mais jamais j’avais entendu la plus belle phrase qu’on peut dire un entrepreneur,
en tout cas à un coach, cette phrase elle est très simple « j’ai l’impression
de te connaître » ; « j’ai l’impression de te connaître ». Moi je ne le connais
pas, ou je ne la connais pas.
Mais le fait de faire des vidéos on crée cette connexion puissante, on crée cette
intimité qui va amener derrière la vente beaucoup plus facilement.
Et si vous regardez autour de vous, j’ai une petite question très simple, les personnes
que vous suivez, les leaders, les personnes qui ont une marque durable, est-ce qu’elles
n’ont pas presque toutes – je ne pourrais pas mentir en disant toutes – mais est-ce
qu’ils ont pas, ou elles n’ont pas, une chaîne YouTube forte ? Franchement, que
ce soit aux USA, que ce soit en France, on peut prendre quelqu’un comme Maxence Rigottier,
je peux vous garantir que vous ne seriez pas là tous autant s’il avait pas développé
sa chaîne YouTube.
Et donc c’est un outil qui est extrêmement puissant.
Simplement, il y a deux stratégies qu’il faut arriver à maîtriser, d’accord.
Et ces deux stratégies c’est, soit la masse, ce que moi je sais faire et ce que je vais
vous présenter, soit le côté viral, on va dire le virage que je suis en train de
prendre, qui nécessite peut-être plus de compétences à mes yeux, personnels.
Mais je vais vous les présenter et après vous choisissez ce que vous préférez.
Ça vous va comme programme ou pas ? OK, nickel.
Alors, comme tout bon entrepreneur j’aime bien dire « hey, vous savez quoi, j’ai
dégagé trois millions de chiffre d’affaires cette année, c’est trop cool, avec mes
deux cabinets de coaching » et blablabla et blablabla.
Ce qui compte, c’est de comprendre comment on en arrive là.
Vous avez à l’écran un graphique qui est ma chaîne YouTube, d’accord.
Vous voyez une période de 18 mois où c’est le calme plat.
Donc pendant 18 mois, je stressais, j’avais peur de me planter.
Je publiais une vidéo tous les jours, puis après plus rien, puis je savais plus quoi
faire, bref, c’était la crise.
Et pourtant, j’avais les notions de SEO, de référencement naturel, mais rien à faire,
je n’y arrivais pas.
Et j’ai pris une décision très simple, j’ai dit à quelqu’un de mon équipe « écoute,
je te mandate, tu prends ma chaîne, tu me la fais décoller ». En une semaine, vous
voyez l’évolution, d’accord.
C’est juste complètement fou.
Alors, je vais vous montrer un petit peu pour que vous compreniez bien, que ça c’est
mon évolution du jour au lendemain.
Donc j’avais posé quelques petites fondations, mal exploitées, et du jour au lendemain ça
explose.
Pourquoi, comment, on va le voir ensemble.
La chose qu’il faut bien comprendre c’est que ça c’est corrélé à une augmentation
de chiffre d’affaires.
Et c’est là où ça devient intéressant, quand on transforme une chaîne YouTube, où
on a des abonnés, en business en ligne.
Comment on a fait ça ? On a décidé de publier une vidéo par jour.
Alors là, je sais que vous allez dire « mais il est complètement fou ce mec ». Une
vidéo par jour, si vous le pouvez, c’est le rythme le plus intéressant et le plus
important pour percer.
Mais surtout, il faut bien prendre conscience qu’il faut optimiser ses vidéos, et donc
répondre aux robots.
Encore une fois, retenez bien que sur YouTube ce n’est pas ceux qui publient le meilleur
contenu qui sont vus, c’est ceux qui vont répondre à ce petit robot, d’accord, qui
essayent de comprendre de quoi va porter votre vidéo.
Est-ce qu’il a des coachs ou des infopreneurs dans la salle qui ont une petite chaîne YouTube
par exemple ? Ou des coachs tout simplement ? Ouais, il y en a quand même pas mal, presque
la moitié, OK.
J’ai rencontré une coach à un événement comme celui-ci, formidable.
Elle aide les femmes à réveiller leur féminin sacré.
Lui parler, pour moi c’était juste génialissime, un puits de connaissance, une femme extraordinaire,
capable de révéler votre potentiel.
Je la vois, je la suis sur Facebook.
Elle met une vidéo sur YouTube, je vais regarder la vidéo, huit minutes de contenu extraordinaire.
Mais quand je vous dis extraordinaire, c’était génial ! Je regarde le titre de sa vidéo
c’est « ma dernière vidéo ». Donc là, je lui ai envoyé un mail, je lui dis
« mais est-ce que tu sais combien de femmes tapent « ma dernière vidéo » sur YouTube
pour regarder une vidéo ? ». Et c’est là où en fait pour les débutants entre
guillemets, je vous ai sélectionné sept règles pour optimiser des vidéos, OK.
Je vous invite à prendre des photos.
Alors, j’ai pas le temps de les mettre en images, mais pour celles et ceux qui veulent
on se fera un petit workshop après, et je vous montrerai exactement sur YouTube en quoi
ça correspond, OK ? Le premier point, c’est qu’on se crée
pas une chaîne YouTube, YouTube c’est le véhicule, OK.
Le robot, qu’est-ce qu’il veut ? Il veut répondre aux besoins du visiteur, donc
on doit partir d’un mot-clé.
Vous allez sur un outil qui s’appelle Yooda Insight, Y-O-O-D-A, insight, I-N-S-I-G-H-T.
Vous tapez « gestion du stress », vous avez la liste de tous vos mots-clés et vous
savez ce que vous avez à faire.
Parce que si vous faites une vidéo sur ce qui vous intéresse vous et que vous n’êtes
pas vu, à part par votre grand-mère, vous n’aurez pas de business.
Ça fait sens ? OK.
Une fois qu’on a son mot-clé, on va choisir le « call to action ». Généralement,
on se dit « OK, mais à la fin de ma vidéo, quand ils auront tout vu, là je vais leur
dire quoi faire ». Erreur les amis.
À la fin de la vidéo, vous perdez l’attention de votre visiteur.
Donc dès la fin du premier conseil, si vous en avez trois, si vous en avez quatre, si
vous faites une vidéo de quatre minutes, à deux minutes vous devez leur dire « hey,
au fait, si jamais tu veux aller plus loin, il y a quelque chose dans la description,
et ce quelque chose on va le voir ensemble », OK ?
Troisième point, on va choisir un titre qui est pute à clics.
« Gérer son stress », c’est notre mot-clé, OK, « trois conseils d’un moine
shaolin », wôw, j’ai envie de cliquer dessus.
Et après, le référencement naturel, c’est choisir ses bons mots-clés.
Et là, il y a un outil je voulais vous montrer, c’est celui-ci vidIQ.
Donc vidIQ en fait, c’est un outil qui va vous faciliter le référencement naturel.
C’est ce qui va vous faciliter le choix des mots-clés.
Vous avez juste à cliquer sur les cases.
Ah ouais, tiens, celui-ci il est intéressant, boum, je clique, ah ouais, celui-ci aussi,
boom, je clique.
Je gagne du temps.
Et franchement, vous devez le déléguer rapidement cette partie-là parce que ce n’est pas
là où vous avez votre plus-value.
Je vous le montre juste pour vous transmettre les outils.
Donc je reviens un petit peu.
Intégrer des mots-clés.
Du coup, on va réaliser la description.
On va terminer avec les fiches.
Et ce qu’il y a de plus important, l’interaction.
Dites aux gens de s’abonner, de liker, de commenter.
Parce que plus il y a de l’interaction, plus vous gagnez en visibilité.
Plus vous gagnez en visibilité, plus YouTube vous aime, d’accord ?
Est-ce qu’il y a des personnes qui débutent et pour qui ces notions sont nouvelles ?
Levez la main, n’hésitez pas, OK.
N’hésitez pas à venir me voir après, parce que pour le coup, en 35-40 minutes je
ne peux pas vous faire une présentation, OK.
Mais je vous remets vidIQ, vous devez créer des playlists, ça c’est très important,
OK.
Ça, c’est ce que j’appelle la production de masse, une vidéo par jour.
Comme celles de Maxence ou les miennes, au départ elles sont catastrophiques, il faut
juste l’accepter et ça va aller de mieux en mieux, OK ?
La viralité, c’est créer des vidéos qui sont plus longues et plus travaillées.
Là, on va utiliser les histoires, on est obligé d’utiliser des histoires.
Je vous ai mis mes deux vidéos qui sont les plus vues, la vignette, je pense que la capture
elle date d’il y a un petit moment.
On a dépassé les deux millions de vues.
La particularité de ces deux vidéos, c’est qu’on les a mises en scène.
Parce que quand on veut faire de la viralité, on ne peut pas simplement avoir un plan webcam,
enfin un plan caméra, pardon, et puis débiter.
Non, on a besoin d’une mise en scène, on a besoin de changer, de look changer de décor,
pour que la personne elle se sente prise au jeu et que la vidéo soit de plus en plus
regardée.
Donc là, moi j’ai mixé viralité et référencement naturel, en intégrant des mots-clés.
Mais vous pouvez utiliser que des titres entre guillemets pute à clics si vous voulez développer
la visibilité.
Ce que je vous invite à faire, c’est de raconter une histoire, c’est de vraiment
cibler à qui vous voulez vous adresser et quels sont leurs profonds besoins.
Dans la vidéo que vous avez à droite, c’est comment rendre un homme fou amoureux.
Ça a été la première fois de ma vie, et la seule fois, où je me suis ouvert, et j’ai
expliqué comment ma compagne m’a séduit.
C’est très simple.
On est allé au resto, je ne buvais pas d’alcool, je prenais un Sprite une fois, deux fois,
trois fois.
Je vais chez elle, j’ouvre le frigo et je vois une canette de Sprite, je me dis c’est
bizarre.
J’y vais une deuxième fois, j’ouvre le frigo et je vois une canette de Sprite, je
lui dis « mais t’en bois jamais ». Elle me dit « ouais, c’est pour toi Alex ».
Boom ! Fin de l’histoire, c’est devenu ma compagne direct, direct, direct.
Mais pourquoi je vous dis ça ? Je vous dis ça parce que maintenant à chaque fois
que je fais un atelier je reçois une canette de Sprite, par des hommes, par des femmes.
Peu importe, les gens viennent me voir en disant « tu es monsieur Sprite », c’est
ça la viralité.
Maintenant, pour exploiter la viralité, parce que c’est ce qui vous intéresse, cinq règles
ultras précises, mais ultras précises, que bien évidemment personne ne fait parce que
sinon tout le monde serait sur scène en réalité.
Vous avez la fenêtre, j’ai mis, des 24 heures et là je suis franchement sympa avec
YouTube, maintenant c’est la fenêtre des trois à quatre heures.
Quand on publie une vidéo, ce qui se passe dans les trois quatre premières heures c’est
le plus important.
Et je l’ai compris, je pense que c’était en 2015, ça m’a amené dans YouTube Actualités.
C’est-à-dire que les gens ils se connectaient et ils me voyaient sur leur page d’accueil
sans aucune raison en réalité, et c’est comme ça que j’ai pu me développer.
Donc qu’est-ce qu’il faut faire ? Poster plusieurs fois la vidéo sur les réseaux
sociaux, vous allez matraquer la vidéo.
Vous allez envoyer un email à votre liste.
Et surtout, vous allez demander à 10 personnes, notez bien ce chiffre, 10 personnes – parce
que c’est faisable – de venir commenter la vidéo dans les premières heures.
Vous allez écrire à mémé, à votre grand frère, à votre cousin, votre cousine, à
vos meilleurs potes « hey, viens s’il te plait commenter cette vidéo ». Et petite
question comme ça, qu’est-ce qu’ils doivent faire quand ils commentent ? Un like, ça
c’est… aussi ils doivent liker, commenter.
Mais qu’est-ce qu’ils doivent faire pour le robot ? Partager, ça aussi c’est un
bon point.
Mettre des mots-clés effectivement, tu l’avais aussi trouvé.
C’est-à-dire qu’en fait si la vidéo c’est « gérer son stress, trois conseils
d’un moine shaolin », je vais dire à tout le monde de venir et dire « merci
Alex », mais tu me rajoute « pour bien gérer mon stress », parce que le petit
robot de YouTube il va comprendre de quoi votre vidéo elle parle.
Ça rejoint les mots-clés, ça rejoint le titre, ça rejoint la description, ça crée
un ensemble.
Vous allez me dire « mais Alex, il faut faire tout ça ». Eh ouais, les amis, si
vous voulez aujourd’hui être visible vous devez faire plus que les autres.
Ça fait sens ça ou pas ? OK, nickel.
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#1
Comment RÉFÉRENCER et OPTIMISER vos VIDÉOS sur YOUTUBE ? - Alexandre CORMONT



Citation :Je vous invite à faire un tonnerre d’applaudissements pour Alex Cormont ! Yeah!
Merci Max.
YouTube, c’est de la bombe, il va nous expliquer tout ça.
C’est ma source numéro un de mon chiffre d’affaires de plus de 80 %. Toi, c’est
une somme très conséquente, je te laisse nous donner les secrets de YouTube.
Avec plaisir.
Est-ce que ça va ? Ouais !
J’adore cette énergie.
Alors, vous allez voir, tout le weekend, il y a vraiment mille et une façons de développer
son entreprise, de faire du business, d’accroître son chiffre d’affaires.
L’important c’est de trouver la vôtre.
Personnellement, j’avais envie de vous parler aujourd’hui d’un outil qui a aidé des
milliers de personnes à vivre de leur passion, à vivre de leur art et à être indépendants.
En tout cas, c’est mon cas et c’est forcément YouTube.
En général, je fais des conférences un peu plus sur le « mindset », l’inspiration.
Mais là, Max m’a dit : « Alex, il faut que tu sois pratique ». Donc j’essaye
d’adapter ma conférence pour les débutants, pour les confirmés et même pour les experts.
Je vais vraiment vous ouvrir pour la première fois les coulisses de mon business.
Je vais essayer vraiment de vous transmettre des choses puissantes pour vous aider justement
à développer votre projet.
Ce que je vous invite vraiment à faire c’est prendre des notes parce qu’il y aura une
petite partie technique.
Si vous avez la moindre question, on la verra à la fin de cette conférence, mais aussi
pendant tout le weekend.
Je vais vraiment être là avec vous.
Mon objectif, c’est que vous passiez à l’action et que vous puissiez développer
votre business.
Vous allez le voir, je ne suis pas un marketeur, je ne suis pas un publiciste, je ne suis pas
actionnaire de YouTube.
Simplement, je trouve que c’est quelque chose qui m’a vraiment aidé.
La première chose que vous devez noter c’est que YouTube c’est l’avenir.
Contrairement à ce que Max vous disait ce matin, moi je me forme beaucoup aux États-Unis,
j’ai la chance de vivre à Miami.
Et je fais partie d’un mastermind s’intitule la War Room, dirigé par Ryan Deiss de DigitalMarketer.
Est-ce qu’il y en a qui connaissent ici ou pas ? Ah quand même.
OK, très bien.
Et en fait, le principe du mastermind c’est d’avoir accès à des personnes qu’on
ne pourrait pas rencontrer dans la vie de tous les jours Il y a deux personnes qui m’ont
énormément touché, que ce soit dans mon développement commercial, dans mon développement
personnel, dans ma vision d’entrepreneur.
La première personne c’est Neil Patel.
C’est quelqu’un qui a une connaissance extraordinaire de l’analytique, donc du
business avec les chiffres et qui aujourd’hui s’est mis à YouTube pour faire des vidéos.
Je ne suis pas sûr qu’il en avait besoin.
Il a vendu ses boites des dizaines de millions de dollars.
Mais je pense que lui il a vu quelque chose que peut-être nous on n’avait pas encore
vu, ou peut-être que vous allez voir aujourd’hui, je l’espère, avec ma présentation.
La deuxième personne, je vous invite vraiment à la noter aussi parce qu’il est peu connu
en France, mais très connu aux USA, il s’appelle Billy Gene – ce n’est pas la chanson – B-I-L-L-Y,
Gene, G-E-N-E.
Et en fait, c’est une personne qui était toujours sur mon fil d’actualités sur Facebook.
À chaque fois que je me connectais, j’avais sa pub, j’avais sa tête, j’avais sa tête,
j’avais sa tête.
Je me disais « mais comment il fait, il doit dépenser des millions et des millions ».
Et je l’ai rencontré et à la War Room, il est venu faire une présentation exactement
comme celle que je suis en train de vous faire, c’est-à-dire sur scène.
Et il explique qu’il a pris son tunnel de vente de Facebook, qu’il l’a mis sur YouTube
et qu’aujourd’hui c’était une extraordinaire opportunité.
Je le vois parce que je vis aux États-Unis, il y a vraiment quelque chose qui se met en
place avec la publicité et YouTube sur l’organique, donc c’est l’avenir, première raison.
Deuxième raison, j’entends souvent dire que la vidéo c’est un peu mort, que le
podcast a pris le relais, et pourtant le marché sur YouTube il est hyper mature, vraiment.
Et ça, je vais vous le démontrer, donc vous n’avez pas besoin de me croire, vous avez
juste besoin de m’écouter, de regarder les slides également.
Est-ce qu’il y a des personnes qui connaissent mes vidéos ici ? Il y en a quand même
pas mal, OK, nickel.
Alors, pour les personnes qui me rencontrent pour la première fois, je dirige deux cabinets
de coaching, j’en ai un à Paris et un à Miami.
Et j’ai une double casquette : je suis à la fois coach en amour, ça c’est vraiment
mon premier bébé.
Et en même temps, je suis mentor business puisque j’accompagne des entrepreneurs à
développer leur chiffre d’affaires, à développer leur présence en ligne, avec
ce que moi j’appelle la création d’une marque forte, quelque chose qui va impacter
le monde, quelque chose qui va permettre de transmettre des valeurs, et quelque chose
qui va nous permettre d’être durable.
Donc j’ai la chance entre guillemets d’avoir une chaîne YouTube avec plus de 365 000
abonnés, c’est la chaîne numéro une en amour dans dev perso.
J’ai également plus de 60 millions de vues.
Et le chiffre qui va vous intéresser aujourd’hui, 45 % de mon chiffre d’affaires en France,
aux USA est généré par YouTube.
Et quand je dis YouTube, nous, mon équipe et moi-même on est des spécialistes de l’organique,
donc on dépense très très très très très très peu d’argent.
Et c’est un tort en fait.
Encore une fois, il y a mille et une façons de faire du business.
Pour la petite histoire, tout a commencé en 2007.
Je dis « mon bureau » en général, mais en fait c’est la vue de ma chambre
à Viry-Châtillon dans le 91.
Tout a commencé, j’étais avec deux potes qui sont dans la salle, des amis d’enfance.
Et j’en aidais un autre à être plus heureux dans son couple.
Et je me suis dit « mais je suis trop fort, il faut que je devienne coach en amour ».
Et je me suis lancé comme ça, un peu de manière insouciante.
J’ai écrit un premier blog, j’ai écrit des articles.
Et jusqu’à 2011, je n’étais pas vraiment visible, je n’avais pas vraiment de clients
entre guillemets.
Donc on peut dire de 2007 à 2011, j’ai dû générer en tout 10 000 € sur quatre
ans.
C’était la catastrophe.
En 2011, j’ai compris un élément qui est puissant, et que vous avez compris si vous
êtes là.
Ce n’est pas les meilleurs qui sont vus, ce n’est pas les meilleurs qui sont lus,
c’est ceux qu’ils ont compris le web marketing.
Et pour moi en tant que coach, ça a été très difficile d’accepter cette casquette.
Je vais vous présenter des exemples, mais notez bien que ceux qui réussissent entre
guillemets c’est ceux qui ont compris les enjeux du web.
Et on va le faire ensemble aujourd’hui. 2015, j’étais leader de mon marché, coup
de folie, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai dit OK, c’est bon, je vais attaquer
le marché américain.
C’est difficile, mais c’est possible.
Aujourd’hui, j’ai la chance de vivre à Miami, d’avoir un coucher de soleil qui
assez somptueux.
Et en même temps, de voyager, de kiffer, de profiter, tout… et c’est une des particularités
je travaille quand même très très dur.
Je suis encore, au quotidien, un vrai entrepreneur avec mes équipes, et c’est ce que j’aime,
et c’est OK.
Donc là, vous pouvez choisir vos valeurs.
Je vous dis ça parce que rien ne me prédestinait à passer de Viry-Châtillon à Miami, sauf
grâce à internet. 2011, ça a été la plus belle année de
ma vie parce que j’ai compris webmarketing, mais ça a été également la plus douloureuse
parce que j’ai perdu mon père.
Un entrepreneur qui avait tout construit, qui s’était dévoué pour sa famille, il
avait construit un garage automobile de ses propres mains, parpaing par parpaing avec
ses potes.
Il est arrivé à la retraite, il s’est dit, c’est bon, je vais qui kifer, boum,
cancer foudroyant.
Internet, que vous alliez sur YouTube, que vous fassiez des Lives, que demain il y aura
Facebook, etc., choisissez ce que vous voulez, mais vous avez un devoir, c’est celui de
réussir.
Parce que vraiment, c’est bon et ça marche.
Il y a trois raisons pour lesquelles YouTube est imbattable, et on pourra en discuter avec
tous les experts, vraiment.
Premièrement, il y a une grosse différence entre YouTube et les réseaux sociaux, OK.
Le premier point, c’est que quand on est sur YouTube on crée un actif.
Est-ce qu’il y a des personnes qui ont investi dans l’immobilier ici ? OK, donc ça,
ça va vous parler cette notion d’actifs.
Quand je mets une vidéo en ligne sur YouTube aujourd’hui, demain, après-demain, dans
dix ans, la vidéo elle est là, elle ne bouge pas.
Quand je mets une vidéo sur Facebook, sur Insta, combien de temps ça dure ? 24 heures,
48 heures si vraiment j’ai fait un post qui cartonne.
Donc quand on met une vidéo en ligne, c’est un actif que vous créez, premièrement.
Deuxièmement, on va se retrouver dans la notion de « search », de recherche.
Quand je publie une vidéo sur YouTube, je la distribue à un prospect qui est tiède.
Il n’est pas chaud, mais il est tiède.
Par exemple, si je veux aider les personnes à gérer leur stress, je fais une vidéo
sur gérer son stress, la personne qui tape « gérer son stress » dans YouTube elle
a envie d’en savoir plus.
Elle a envie de s’en sortir, elle a un problème.
Vous êtes d’accord avec moi ou pas ? OK.
Par contre, sur Facebook, je vais voir une photo de chat, une photo de fitness et entre
les deux une publication sur la gestion du stress.
Je ne suis pas alerte comme un client entre guillemets qui est sur YouTube.
Ça fait sens ? OK, super.
Troisième point important à noter, YouTube permet plus facilement d’amener la vente
parce qu’il y a la création d’une connexion émotionnelle qui se met en place.
Il y a cette fameuse phrase qui dit, je crois que c’est « une image vaut mille mots »,
c’est ça ? OK.
Imaginez ce que c’est qu’une vidéo.
Quand je me suis lancé… il y en a qui ont démarré sur internet avant 2010 ici ou pas ?
Ouais, il y en a quand même quelques-uns, OK.
À l’époque, on avait des lettres de vente, les longues pages de vente.
Aujourd’hui c’est passé à la poubelle, vidéo.
Parce que la connexion elle est puissante.
Sur mes sites internet, j’ai plus de 20 millions de visiteurs chaque année, 20 millions
de personnes me suivent chaque année.
Mais jamais j’avais entendu la plus belle phrase qu’on peut dire un entrepreneur,
en tout cas à un coach, cette phrase elle est très simple « j’ai l’impression
de te connaître » ; « j’ai l’impression de te connaître ». Moi je ne le connais
pas, ou je ne la connais pas.
Mais le fait de faire des vidéos on crée cette connexion puissante, on crée cette
intimité qui va amener derrière la vente beaucoup plus facilement.
Et si vous regardez autour de vous, j’ai une petite question très simple, les personnes
que vous suivez, les leaders, les personnes qui ont une marque durable, est-ce qu’elles
n’ont pas presque toutes – je ne pourrais pas mentir en disant toutes – mais est-ce
qu’ils ont pas, ou elles n’ont pas, une chaîne YouTube forte ? Franchement, que
ce soit aux USA, que ce soit en France, on peut prendre quelqu’un comme Maxence Rigottier,
je peux vous garantir que vous ne seriez pas là tous autant s’il avait pas développé
sa chaîne YouTube.
Et donc c’est un outil qui est extrêmement puissant.
Simplement, il y a deux stratégies qu’il faut arriver à maîtriser, d’accord.
Et ces deux stratégies c’est, soit la masse, ce que moi je sais faire et ce que je vais
vous présenter, soit le côté viral, on va dire le virage que je suis en train de
prendre, qui nécessite peut-être plus de compétences à mes yeux, personnels.
Mais je vais vous les présenter et après vous choisissez ce que vous préférez.
Ça vous va comme programme ou pas ? OK, nickel.
Alors, comme tout bon entrepreneur j’aime bien dire « hey, vous savez quoi, j’ai
dégagé trois millions de chiffre d’affaires cette année, c’est trop cool, avec mes
deux cabinets de coaching » et blablabla et blablabla.
Ce qui compte, c’est de comprendre comment on en arrive là.
Vous avez à l’écran un graphique qui est ma chaîne YouTube, d’accord.
Vous voyez une période de 18 mois où c’est le calme plat.
Donc pendant 18 mois, je stressais, j’avais peur de me planter.
Je publiais une vidéo tous les jours, puis après plus rien, puis je savais plus quoi
faire, bref, c’était la crise.
Et pourtant, j’avais les notions de SEO, de référencement naturel, mais rien à faire,
je n’y arrivais pas.
Et j’ai pris une décision très simple, j’ai dit à quelqu’un de mon équipe « écoute,
je te mandate, tu prends ma chaîne, tu me la fais décoller ». En une semaine, vous
voyez l’évolution, d’accord.
C’est juste complètement fou.
Alors, je vais vous montrer un petit peu pour que vous compreniez bien, que ça c’est
mon évolution du jour au lendemain.
Donc j’avais posé quelques petites fondations, mal exploitées, et du jour au lendemain ça
explose.
Pourquoi, comment, on va le voir ensemble.
La chose qu’il faut bien comprendre c’est que ça c’est corrélé à une augmentation
de chiffre d’affaires.
Et c’est là où ça devient intéressant, quand on transforme une chaîne YouTube, où
on a des abonnés, en business en ligne.
Comment on a fait ça ? On a décidé de publier une vidéo par jour.
Alors là, je sais que vous allez dire « mais il est complètement fou ce mec ». Une
vidéo par jour, si vous le pouvez, c’est le rythme le plus intéressant et le plus
important pour percer.
Mais surtout, il faut bien prendre conscience qu’il faut optimiser ses vidéos, et donc
répondre aux robots.
Encore une fois, retenez bien que sur YouTube ce n’est pas ceux qui publient le meilleur
contenu qui sont vus, c’est ceux qui vont répondre à ce petit robot, d’accord, qui
essayent de comprendre de quoi va porter votre vidéo.
Est-ce qu’il a des coachs ou des infopreneurs dans la salle qui ont une petite chaîne YouTube
par exemple ? Ou des coachs tout simplement ? Ouais, il y en a quand même pas mal, presque
la moitié, OK.
J’ai rencontré une coach à un événement comme celui-ci, formidable.
Elle aide les femmes à réveiller leur féminin sacré.
Lui parler, pour moi c’était juste génialissime, un puits de connaissance, une femme extraordinaire,
capable de révéler votre potentiel.
Je la vois, je la suis sur Facebook.
Elle met une vidéo sur YouTube, je vais regarder la vidéo, huit minutes de contenu extraordinaire.
Mais quand je vous dis extraordinaire, c’était génial ! Je regarde le titre de sa vidéo
c’est « ma dernière vidéo ». Donc là, je lui ai envoyé un mail, je lui dis
« mais est-ce que tu sais combien de femmes tapent « ma dernière vidéo » sur YouTube
pour regarder une vidéo ? ». Et c’est là où en fait pour les débutants entre
guillemets, je vous ai sélectionné sept règles pour optimiser des vidéos, OK.
Je vous invite à prendre des photos.
Alors, j’ai pas le temps de les mettre en images, mais pour celles et ceux qui veulent
on se fera un petit workshop après, et je vous montrerai exactement sur YouTube en quoi
ça correspond, OK ? Le premier point, c’est qu’on se crée
pas une chaîne YouTube, YouTube c’est le véhicule, OK.
Le robot, qu’est-ce qu’il veut ? Il veut répondre aux besoins du visiteur, donc
on doit partir d’un mot-clé.
Vous allez sur un outil qui s’appelle Yooda Insight, Y-O-O-D-A, insight, I-N-S-I-G-H-T.
Vous tapez « gestion du stress », vous avez la liste de tous vos mots-clés et vous
savez ce que vous avez à faire.
Parce que si vous faites une vidéo sur ce qui vous intéresse vous et que vous n’êtes
pas vu, à part par votre grand-mère, vous n’aurez pas de business.
Ça fait sens ? OK.
Une fois qu’on a son mot-clé, on va choisir le « call to action ». Généralement,
on se dit « OK, mais à la fin de ma vidéo, quand ils auront tout vu, là je vais leur
dire quoi faire ». Erreur les amis.
À la fin de la vidéo, vous perdez l’attention de votre visiteur.
Donc dès la fin du premier conseil, si vous en avez trois, si vous en avez quatre, si
vous faites une vidéo de quatre minutes, à deux minutes vous devez leur dire « hey,
au fait, si jamais tu veux aller plus loin, il y a quelque chose dans la description,
et ce quelque chose on va le voir ensemble », OK ?
Troisième point, on va choisir un titre qui est pute à clics.
« Gérer son stress », c’est notre mot-clé, OK, « trois conseils d’un moine
shaolin », wôw, j’ai envie de cliquer dessus.
Et après, le référencement naturel, c’est choisir ses bons mots-clés.
Et là, il y a un outil je voulais vous montrer, c’est celui-ci vidIQ.
Donc vidIQ en fait, c’est un outil qui va vous faciliter le référencement naturel.
C’est ce qui va vous faciliter le choix des mots-clés.
Vous avez juste à cliquer sur les cases.
Ah ouais, tiens, celui-ci il est intéressant, boum, je clique, ah ouais, celui-ci aussi,
boom, je clique.
Je gagne du temps.
Et franchement, vous devez le déléguer rapidement cette partie-là parce que ce n’est pas
là où vous avez votre plus-value.
Je vous le montre juste pour vous transmettre les outils.
Donc je reviens un petit peu.
Intégrer des mots-clés.
Du coup, on va réaliser la description.
On va terminer avec les fiches.
Et ce qu’il y a de plus important, l’interaction.
Dites aux gens de s’abonner, de liker, de commenter.
Parce que plus il y a de l’interaction, plus vous gagnez en visibilité.
Plus vous gagnez en visibilité, plus YouTube vous aime, d’accord ?
Est-ce qu’il y a des personnes qui débutent et pour qui ces notions sont nouvelles ?
Levez la main, n’hésitez pas, OK.
N’hésitez pas à venir me voir après, parce que pour le coup, en 35-40 minutes je
ne peux pas vous faire une présentation, OK.
Mais je vous remets vidIQ, vous devez créer des playlists, ça c’est très important,
OK.
Ça, c’est ce que j’appelle la production de masse, une vidéo par jour.
Comme celles de Maxence ou les miennes, au départ elles sont catastrophiques, il faut
juste l’accepter et ça va aller de mieux en mieux, OK ?
La viralité, c’est créer des vidéos qui sont plus longues et plus travaillées.
Là, on va utiliser les histoires, on est obligé d’utiliser des histoires.
Je vous ai mis mes deux vidéos qui sont les plus vues, la vignette, je pense que la capture
elle date d’il y a un petit moment.
On a dépassé les deux millions de vues.
La particularité de ces deux vidéos, c’est qu’on les a mises en scène.
Parce que quand on veut faire de la viralité, on ne peut pas simplement avoir un plan webcam,
enfin un plan caméra, pardon, et puis débiter.
Non, on a besoin d’une mise en scène, on a besoin de changer, de look changer de décor,
pour que la personne elle se sente prise au jeu et que la vidéo soit de plus en plus
regardée.
Donc là, moi j’ai mixé viralité et référencement naturel, en intégrant des mots-clés.
Mais vous pouvez utiliser que des titres entre guillemets pute à clics si vous voulez développer
la visibilité.
Ce que je vous invite à faire, c’est de raconter une histoire, c’est de vraiment
cibler à qui vous voulez vous adresser et quels sont leurs profonds besoins.
Dans la vidéo que vous avez à droite, c’est comment rendre un homme fou amoureux.
Ça a été la première fois de ma vie, et la seule fois, où je me suis ouvert, et j’ai
expliqué comment ma compagne m’a séduit.
C’est très simple.
On est allé au resto, je ne buvais pas d’alcool, je prenais un Sprite une fois, deux fois,
trois fois.
Je vais chez elle, j’ouvre le frigo et je vois une canette de Sprite, je me dis c’est
bizarre.
J’y vais une deuxième fois, j’ouvre le frigo et je vois une canette de Sprite, je
lui dis « mais t’en bois jamais ». Elle me dit « ouais, c’est pour toi Alex ».
Boom ! Fin de l’histoire, c’est devenu ma compagne direct, direct, direct.
Mais pourquoi je vous dis ça ? Je vous dis ça parce que maintenant à chaque fois
que je fais un atelier je reçois une canette de Sprite, par des hommes, par des femmes.
Peu importe, les gens viennent me voir en disant « tu es monsieur Sprite », c’est
ça la viralité.
Maintenant, pour exploiter la viralité, parce que c’est ce qui vous intéresse, cinq règles
ultras précises, mais ultras précises, que bien évidemment personne ne fait parce que
sinon tout le monde serait sur scène en réalité.
Vous avez la fenêtre, j’ai mis, des 24 heures et là je suis franchement sympa avec
YouTube, maintenant c’est la fenêtre des trois à quatre heures.
Quand on publie une vidéo, ce qui se passe dans les trois quatre premières heures c’est
le plus important.
Et je l’ai compris, je pense que c’était en 2015, ça m’a amené dans YouTube Actualités.
C’est-à-dire que les gens ils se connectaient et ils me voyaient sur leur page d’accueil
sans aucune raison en réalité, et c’est comme ça que j’ai pu me développer.
Donc qu’est-ce qu’il faut faire ? Poster plusieurs fois la vidéo sur les réseaux
sociaux, vous allez matraquer la vidéo.
Vous allez envoyer un email à votre liste.
Et surtout, vous allez demander à 10 personnes, notez bien ce chiffre, 10 personnes – parce
que c’est faisable – de venir commenter la vidéo dans les premières heures.
Vous allez écrire à mémé, à votre grand frère, à votre cousin, votre cousine, à
vos meilleurs potes « hey, viens s’il te plait commenter cette vidéo ». Et petite
question comme ça, qu’est-ce qu’ils doivent faire quand ils commentent ? Un like, ça
c’est… aussi ils doivent liker, commenter.
Mais qu’est-ce qu’ils doivent faire pour le robot ? Partager, ça aussi c’est un
bon point.
Mettre des mots-clés effectivement, tu l’avais aussi trouvé.
C’est-à-dire qu’en fait si la vidéo c’est « gérer son stress, trois conseils
d’un moine shaolin », je vais dire à tout le monde de venir et dire « merci
Alex », mais tu me rajoute « pour bien gérer mon stress », parce que le petit
robot de YouTube il va comprendre de quoi votre vidéo elle parle.
Ça rejoint les mots-clés, ça rejoint le titre, ça rejoint la description, ça crée
un ensemble.
Vous allez me dire « mais Alex, il faut faire tout ça ». Eh ouais, les amis, si
vous voulez aujourd’hui être visible vous devez faire plus que les autres.
Ça fait sens ça ou pas ? OK, nickel.
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#2
Très intéressante cette vidéo,
Pour quelqu'un qui veut développer ses activités par le biais de Youtube, il serait très judicieux d'en prendre connaissance.
Patrick Huet écrivain.
Auteur du livre "Soyez fort, ne vous laissez plus jamais affaiblir"
Répondre en citant ce message Répondre
#2
Très intéressante cette vidéo,
Pour quelqu'un qui veut développer ses activités par le biais de Youtube, il serait très judicieux d'en prendre connaissance.
Patrick Huet écrivain.
Auteur du livre "Soyez fort, ne vous laissez plus jamais affaiblir"
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