26-03-2020,
- Article écrit en 2007 -
Comment bâtissez-vous vos pages ? « Les mains dans le cambouis » (c’est-à-dire en utilisant le bloc note par exemple) ou bien avec un logiciel évolué ?
« Cela n’a pas d’importance » penseront certains. Pourtant si ! Quand j’utilise l’expression « les mains dans le cambouis », cela n’a rien de péjoratif. Au contraire puisque c’est le meilleur moyen de contrôler le code que l’on développe.
Il est vrai que les logiciels spécialisés dans la création de pages WEB (je parle ici de logiciels payants) ont en moyenne fait de gros progrès et offrent une véritable compatibilité du code pour de nombreux navigateurs. Mais compatibilité ne veut pas dire propreté !
Pour un même résultat, en grossissant les traits, certains vont utiliser une ligne de code et d’autres… dix ! Le code doit être optimisé au maximum. Il est certain qu’avec la vitesse obtenue de nos jours même avec un ordinateur bas de gamme (couplé à l’ADSL), la différence de chargement entre une page qui fait 10Ko ou 50Ko ne se fait pas sentir.
Certes mais les moteurs de recherche sont sensibles à la structure du code. Le code développé doit respecter certaines normes et ne pas comporter d’erreurs syntaxiques.
Un exemple minimaliste ? Si vous tapez souvent des balises d’ouverture pour mettre un texte en caractère gras, et que vous ne tapez pas de balise de fermeture (même si vous arrivez en fin de </TD>), vous pourrez être sanctionné ! Alors qu’à l’affichage, vous ne constaterez aucun défaut…
Je le répète, les traits sont grossis mais cela peut faire une réelle différence par rapport à une requête de mots-clés ultra-concurrentiels. Ecrire un code propre est donc utile. Faites donc en sorte de parvenir à cet objectif, c’est dans votre intérêt.
Comment bâtissez-vous vos pages ? « Les mains dans le cambouis » (c’est-à-dire en utilisant le bloc note par exemple) ou bien avec un logiciel évolué ?
« Cela n’a pas d’importance » penseront certains. Pourtant si ! Quand j’utilise l’expression « les mains dans le cambouis », cela n’a rien de péjoratif. Au contraire puisque c’est le meilleur moyen de contrôler le code que l’on développe.
Il est vrai que les logiciels spécialisés dans la création de pages WEB (je parle ici de logiciels payants) ont en moyenne fait de gros progrès et offrent une véritable compatibilité du code pour de nombreux navigateurs. Mais compatibilité ne veut pas dire propreté !
Pour un même résultat, en grossissant les traits, certains vont utiliser une ligne de code et d’autres… dix ! Le code doit être optimisé au maximum. Il est certain qu’avec la vitesse obtenue de nos jours même avec un ordinateur bas de gamme (couplé à l’ADSL), la différence de chargement entre une page qui fait 10Ko ou 50Ko ne se fait pas sentir.
Certes mais les moteurs de recherche sont sensibles à la structure du code. Le code développé doit respecter certaines normes et ne pas comporter d’erreurs syntaxiques.
Un exemple minimaliste ? Si vous tapez souvent des balises d’ouverture pour mettre un texte en caractère gras, et que vous ne tapez pas de balise de fermeture (même si vous arrivez en fin de </TD>), vous pourrez être sanctionné ! Alors qu’à l’affichage, vous ne constaterez aucun défaut…
Je le répète, les traits sont grossis mais cela peut faire une réelle différence par rapport à une requête de mots-clés ultra-concurrentiels. Ecrire un code propre est donc utile. Faites donc en sorte de parvenir à cet objectif, c’est dans votre intérêt.